barbier

Au XVIIIe siècle, l'activité du barbier est proche de celle du chirurgien.

En effet, tout ce qui était de l'exercice de la main sur le corps de l'homme, était de la compétence de la chirurgie : l'art de raser et de faire le poil n'en était pas exclu.

Mais à mesure que les chirrugiens réalisèrent des interventions plus importantes, ils abandonnèrent à leurs élèves ou du moins à ceux qui ne s'étaient pas instruits, toutes celles qui n'exigeaient que des méthodes d'usage et de routine, c'est cette base de chirurgiens subalternes qui fut désignée sous le nom de barbiers. (www.medarus.org).